LA MICROKINESITHERAPIE
Il y a une vingtaine d’années, deux kinésithérapeutes lorrains, se sont lancés dans la mise au point d’une nouvelles méthode : la microkinésithérapie.
La base du raisonnement trouve ses sources dans l’étude de l’embryologie qui permet de comprendre un bon nombre de réactions de par le lien tissulaire qui existe entre un organe, une vertèbre et des muscles. Par exemple le muscle cardiaque, les vertèbres C5-C6 et certains muscles du cou et du membre supérieur.
Le corps humain, comme tout organisme vivant, est conçu pour s’adapter, se défendre et s’autocorriger en cas d’agressions traumatiques, émotionnelles, toxiques, virales, microbiennes ou d’environnement.
L’environnement peut devenir hostile dans certains cas et atteindre des limites qui font que le corps ne peut plus s’adapter à ses modifications.
Lorsque l’agression est supérieure aux possibilités de défense de l’organisme, la vitalité du tissu corporel concerné est alors altérée. Il y a « mémorisation » de l’agression et la modification de la vitalité tissulaire peut faire apparaître différentes manifestations locales ou à distance.
Par une palpation très fine, et une méthode de travail rigoureuse, le thérapeute va ré-informer les mécanismes d’autocorrection, afin de les stimuler à résoudre les problèmes posés par les agressions de l’environnement et qui auraient altérés les fonctions vitales de base.
La microkinésithérapie a pour but de pacifier corps et mémoire.
Pour tout renseignement : www.microkinebelgique.be
MVB.